Lors de la seconde journée parlementaire du groupe parlementaire paix justice et réconciliation nationale (PJRN) à Réo, le thème du nouveau code électoral était au rendez-vous.
« La mise en œuvre de cette loi, si elle peut impacter la paix sociale, nous devons toujours avoir le courage de nous poser les bonnes questions et de faire des propositions qui permettent au gouvernement de rechercher l’essentiel. Pour nous aujourd’hui, l’essentiel qui est le consensus, la recherche de la cohésion sociale n’est pas encore trouvé », déclare François Bassié, président du groupe parlementaire.
Le député parle de transparence pour la compétition électorale.et quand on lui parle des difficultés dans l’opérationnalisation de l’enrôlement par sms en ce qui concerne le vote des burkinabè de l’extérieur, il répond qu’il n’ya pas que seulement le vote des burkinabè de l’extérieur mais il y a aussi le nouveau système d’enrôler qui pénalisent la cohésion sociale.
« Cela se fera par sms, dans trois langues nationales, mooré, dioula et fulfuldé et la soixantaine d’autres langues que compte notre pays. Sur la carte d’identité à partir de laquelle, on va envoyer les sms pour ledit enrôlement, le numéro du propriétaire de la carte n’y figure pas. On peut envoyer ces SMS à ces personnes à prévenir en cas de besoin alors que parmi ces derniers certains ont changé de numéro ou ne savent ni lire ni écrire.
Dans ces cas on fait comment ?« Nous allons faire encore des propositions au gouvernement et au parti au pouvoir pour qu’on arrive à un consensus. Nous ne voulons pas vivre des crises postélectorales comme dans d’autres pays après les élections de 2020 à cause de code électoral », affirment ces député
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