A l’occasion de la 3eme édition du festival Ouaga –New York, prévu pour se tenir du 15 au 17 septembre prochain, dans la ville de New York. Ainsi seront a l’honneur la culture burkinabé ; dont au programme, le cinéma la gastronomie, l’artisanat, la mode et la musique burkinabé. Face à la presse le 7juillet dernier à Ouagadougou, les organisateurs ont donnés les grandes lignes de cet événement.
En effet, c’est la 3eme fois consécutive que le Festival Ouaga-New York aura lieu. Selon les organisateurs, les deux précédentes éditions de 2015 et 2016 ont été une réussite. D’après Gérard Koala, coordonnateur du festival, leurs objectifs est de bâtir un pont culturel entre la plus grande ville des Etats Unis et la capitale burkinabè. Au-delà, travailler un brassage entre le pays de l’oncle Sam et celui des hommes intègres.
Par ailleurs cette 3eme édition aura lieu du 15 au 17 septembre 2017 sous le thème « Culture et intégration, bâtir le Burkina avec sa diaspora ». Trois jours pour ‘’commercialiser’’ les plus belle choses que le Burkina Faso possède sur le plan culturel .Ainsi au programme, il est prévu divers activités telles que des rencontres professionnelles, une foire aux brochettes, des projections de films, des défilés de modes et des prestations d’artistes.
Justement sur ce dernier point, des artistes comme Smarty, David Le Combattant, Kaberic, Adama Dicko, Malima Koné en concert live.
Objectifs du FONY
De l’avis des organisateurs, le but du FONY est la diffusion, et la promotion de la culture burkinabè .C’est ainsi que M. Gérard Koala convaincu, au vu des constats au cours des deux précédentes éditions où le festival avait réunit plus de 2000 a 2500 personnes, autour de la culture burkinabé durant trois jours, déclare ; « C’est une offre culturelle, riche, originale et attractive avec une programmation accessible à tous ».
De plus les organisateurs rassurent qu’il ne s’agit pas seulement à travers ce cadre de s’amuser, écouter de la musique et manger des brochettes, mais de viser plus loin .En effet leurs objectifs est de contribuer à faire la promotion du Burkina Faso dans le but de le faire connaitre aux USA, et surtout partout dans le monde ; et par-dessus tout, contribuer au développement de la mère patrie.
Le coordonnateur du festival explique qu’il s’agit d’impliquer la diaspora, pas seulement américaine, dans la construction du pays, il déclare ainsi :« Nous de la diaspora, loin de la mère patrie, nous avons ce devoir de rester en contact permanent avec notre pays. On a des compatriotes qui ont des enfants nées aux Etats Unis qui n’ont jamais vu un artiste Burkinabè ».
Cette diaspora doit donc se « poser des actes pour accompagner ce qui est déjà fait par les autorités, mais aussi initier des choses de par l’expérience acquise dans les pays d’accueil qui pourraient être utile à bâtir notre pays ».
Foi des conférenciers, le Festival Ouaga-New York est une activité à but non lucratif. Seulement un instrument de brassage culturel, de promotion de la culture burkinabè.
ps photo d’illustration
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