Le 15 janvier 2016, le burkina Faso fait fasse à sa premiere Attaque terroriste. La terrasse d’un café et un hôtel de la place ont été les cibles de cette première attaque. Bilan, une trentaine de personnes tués et près de 70 individus blaissés par balle.https://www.humanitarianresponse.info/en/operations/burkina-faso/situation-des-pdi-au-burkina-faso
Depuis lors les attaques se succèdent, il ne se passe presqu’un seul jour sans que le sang ne se verse sur le territoire burkinabè du faute de ces attaques.
L’on se souvient toujours de l’attaque la plus meurtrière dans la localité de solhan qui a fait au moins 160 personnes tuées. Femme, hommes et enfants, tous paient le prix.
Aujourd’hui le Burkina Faso a atteint la barre de plus de 1,5 million de déplacés internes parmi lesquels, on dénombre 61,48% d’enfants, 22,39% de femmes et 16,13% d’homme.
Il faut également souligner qu’en plus de ces déplacés internes, les attaques meurtrières ont conduit d’autres personnes à quitter le pays pour s’installer là où ils se sentent en sécurité.
Le gouvernement burkinabè a annoncé la fermeture de 3 280 établissements scolaires du fait du terrorisme. La fermeture de ces écoles a impacté 511 221 élèves et 14 901 enseignants, a indiqué le gouvernement. egalement, il précise que les efforts consentis ont permis de rouvrir 205 établissements au profit de 39 812 élèves.
Une question que plusieurs d’entre nous se pose(qui sont ceux qui nous attaques ?). Des citoyens burkinabè ont rejoint le camp adverse, nous dit le gouvernement. La situation est inquiétante, la population
A ce jour l’état d’urgence est décrété dans certaines régions du pays.
KASSONGO Zoenabo
